Cet été, j’ai lu dans le journal de Bretagne « Le Télégramme » l’interview de la soeur du père Hamel.

Cela m’a beaucoup touché, je partage ici l’essentiel et vous donne le lien vers le journal.

La perte brutale de son frère, le père Jacques Hamel, a plongé Roseline dans une quête de sens face à l’insoutenable. Plutôt que de s’abandonner à la souffrance, elle a choisi de transformer sa douleur en chemin de résilience, inspirée par la figure de la Vierge Marie et sa propre expérience de mère.

Une question l’a hantée : Qui pourrait souffrir davantage qu’elle ? C’est en se mettant à la place de Nassera Kermiche, mère de l’un des auteurs de l’attentat, qu’elle a trouvé une réponse inattendue.

Leur rencontre est née d’un besoin mutuel de comprendre, au-delà des rôles de victime et de mère d’un bourreau. Ensemble, elles ont exploré une voie vers la paix intérieure, malgré l’horreur qui les liait.

Leur histoire témoigne d’une humanité qui transcende la violence, où la compassion devient un acte de résistance face à l’absurdité du mal.

Ce parcours, aussi improbable qu’exigeant, révèle comment la douleur partagée peut parfois ouvrir des portes vers la réconciliation.

https://www.letelegramme.fr/france/roseline-hamel-devenue-amie-avec-la-mere-dun-des-terroristes-qui-a-tue-son-frere-je-me-suis-mise-a-la-place-de-cette-maman-6871847.php

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